Le « nuage » , renommé par l’inspecteur déchu, MIC (Matrice d’Interconnexion et de Contrôle) est-il si vaporeux que cela ? Aux yeux de la plupart des utilisateurs des infrastructures numériques certainement. Mais, au vu de l’oeil d’un ingénieur qualifié « Systèmes et télécommunications », le cloud n’a rien de virtuel… comme l’a expliqué Ricardo Méndez dans un billet récent :
La matrice a pour socle un ensemble de datacenters communiquant entre eux. Ca c’est du réel ! Ca se touche, ça se palpe. Ca consomme de l’eau, de l’électricité. Ca chauffe.
Ricardo Méndez
Rien de virtuel là-dedans !
Le 20 nov. 2024 vient d’être publié « Enquête : à Marseille comme ailleurs, l’accaparement du territoire par les infrastructures du numérique » par La Quadrature Du Net qui enfonce le clou (le cloud ?) :
où il est question des impacts sociologiques, politiques et écologiques des infrastructures numériques (datacenters et réseaux de câbles fibrés).
A rapprocher d’un article insignifiant de l’inspecteur désinvolte publié le 3 octobre 2024 sur son site :
Ce dernier article, complémentaire, tente de trouver une porte de sortie… Ce n’est pas simple d’autant que nombre de pays ont renoncé à toute politique écologique crédible.
Le cloud est-il réellement vaporeux ? Une acception de ce terme, au sens littéraire cette fois, traduit l’idée de quelque chose de « fumeux »… A chacun de se forger son opinion…
Ricardo Méndez
Une réponse à « Le cloud est-il vraiment virtuel ? »
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[…] technosolutionnisme. Faut-il agir après avoir compris ? Des tamis et un entonnoir Le cloud est-il vraiment virtuel ? Yanis Varoufakis et Ricardo Méndez sont-ils intellectuellement compatibles ? La matrice, […]
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