Un nouvel éditorial insignifiant de l’Inspecteur qui en profite pour vous souhaiter une année où l’on redécouvre le monde de la relation entre les humains… Une relation directe et non distante donc sans passer par des plateformes numériques…
Dans son dernier ouvrage « Le Désert de nous-mêmes« , Eric Sadin explique :
La première de nos tables de lois : rien de ce qui vient troubler, ou mettre en danger, la relation fondamentale entre le « Je » et le « Tu » et de tout ce que celle-ci suppose en terme de bon équilibre pour notre condition commune d’êtres vivants, ne devrait, en société et d’un point de vue socio-juridique, être toléré.
Eric Sadin
Bonne année à tous !
2 réponses à « Editorial photo janvier 2026 »
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Cela m’a fait penser au festival d’Avignon. Affichage sauvage.
Le sujet de ton article est en adéquation avec les photos et j’aurais aimé un peu plus de consistance dans la critique du photographe exposant.J’aimeAimé par 1 personne
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Bonsoir et merci pour ton message !
En fait je suis passé voir l’expo de cet artiste mais il ne m’avait pas semblé très ouvert à la discussion. En fait son expo était constituée d’images de type photo-reportage prises il y a des décennies dans des régions aussi diverses que l’Amérique nord, l’Amérique du Sud, l’Inde etc… A Arles, durant les RP, il y a des exposants à la marge qui exposent essentiellement pour faire du business comme une exposante qui vendait des photos d’un « Medecin Sans Frontières » prises à travers les vitres de bus africains… Des photos intéressantes par ailleurs.
J’arrête là mon discours car je ne veux surtout dénigrer personne, en tous les cas ce n’est pas mon but !J’aimeJ’aime
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Un photographe insignifiant incarne l’inspecteur Méndez ! 
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