Aujourd’hui, l’officier désarmé s’est délecté avec la vidéo « La théorie de l’Art Contemporain et la théorie du néant » développant un très intéressant argumentum ad hominem de Nath-Sakura à propos de l’Art Contemporain (AC).
L’inspecteur barcelonais déchu ne connait pas grand chose en matière d’Art et d’Histoire de l’Art (bien qu’il s’y intéresse) mais a intégré que l’Art Contemporain repose finalement sur la négation du passé, de l’Histoire… Instinctivement, il fait donc le parallèle avec les Sciences et Techniques et leur Histoire, domaine où l’on assiste, depuis 2 ou 3 décennies, au reniement du passé (passé dont les nouveaux ingénieurs n’ont plus conscience, l’Histoire des Sciences et Techniques n’étant quasi-plus enseignée hormis dans quelques universités de haut vol). Cette fuite vers le néant commence par la simulation (une machine, réelle ou virtuelle, moins chère à fabriquer, en simule une autre, généralement bien physique celle-ci mais plus chère à fabriquer) pour aller vers la virtualisation : un programme créé de toutes pièces une réalité virtuelle qui ne s’appuie sur… rien.
Dans l’Art tout comme dans d’autres domaines, on détruit le réel pour construire un monde virtuel (associé très fortement au monde marchand). La planète est polluée : qu’à cela ne tienne, on va occulter le réel par une construction virtuelle où l’herbe est bien plus verte et appétissante. L’Homme n’aura plus conscience du réel… Ce dernier sera masqué et à terme détruit.
Si vous avez loupé le début de l’aventure…
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2 replies to “Le culte du néant”