La véritable Histoire des climatiseurs Nikon !

Nathy (Nath-Sakura que le vieil officier ne présente plus ici) s’est vraiment surpassée !!!

C’est vraiment drôle !

La technologie des climatiseurs embarquée dans les boîtiers Nikon (et peut-être d’autres marques, allez savoir Madame Michu !!) révéle le tournant technologique que négocie la photographie…

La photo est de moins en moins de l’optique et de plus en plus de l’algorithmique qui va corriger les défauts d’un cul de bouteille (de Cuba libre, un clin d’oeil à Nath !). Il faut aussi que le boîtier comble les lacunes et autres insuffisances du photographe (assistance à base d’IA deep learning) et enfin que les prises de vue soient de plus en plus rapides (120 prises de vue/seconde annoncées pour le Nikon Z9)… pour pouvoir transmettre des photos de qualité industrielle à l’autre bout du monde et faire du business !

Tout cela n’est possible qu’avec une électronique rapide et fortement intégrée qui… chauffe ! Il faut donc refroidir… climatiser !!!! Dans les Nikon (uniquement Nikon vraiment ?) on embarque des « circuits de climatisation » qui n’étaient, dans les années 70, seulement indispensables que pour tempérer les circuits des super-calculateurs ! (on a décrit à l’époque certains ordinateurs dont les circuits intégrés étaient abaissés en température passivement par un radiateur lui-même refroidi par un circuit d’hélium, circuit d’hélium refroidi à son tour par un circuit secondaire d’eau… ). Nikon rattrape péniblement son retard ! A quand le double circuit hydraulique dans les boîtiers photo ? D’ailleurs, avec l’élévation de la température ambiante dûe au réchauffement climatique et à l’instar des super-calculateurs scientifiques, nous ne pourrons dorénavant utiliser les boîtiers Nikon que dans une salle… climatisée… ce qui, avouons-le, va très sérieusement entacher l’image de Nikon comme fer de lance du photo-journalisme et du reportage de guerre ! Nikon précise la plage de fonctionnement de ses boîtiers professionnels actuels comme le fameux Z9 (-10°C à +40°C)…+40°C… un peu juste pour affronter les régions chaudes du globe, n’est-il pas vrai ?

Et si nous revenions à la notion de « photographie apaisée » ? Abandonner les « rafales », n’appuyer sur le déclencheur qu’une fois que la photo est « telle qu’on la souhaite » (et exposée à +1,33 IL bien sûr ! Un clin d’oeil à NS !), prendre le temps de développer (même si cela doit prendre une journée), ne diffuser la photo sur les réseaux que si elle est vraiment aboutie… Un vrai programme écologique in fine !!

Et pour conclure… Une image doit-elle être parfaite ? Un cliché « industriel » doit-il être normé ?

Le lecteur « apaisé » prendra le temps de lire ou de relire ce billet clairement indigent et insignifiant rédigé il y a un an par… Ricardo en personne !

2 réponses à « La véritable Histoire des climatiseurs Nikon ! »

  1. Avatar de Framboise Merlin

    Difficile pour moi de dire ce qu’est une photo parfaite, pour un professionnel qui devra vendre son cliché.

    Je ne fais des photos qu’avec mon smarphone, que je partage (ou pas) sur mes réseaux sociaux. Alors je considère qu’une photo est parfaite quand elle restitue les émotions que j’ai ressenties face à la scène. Du simple plaisir instantané à l’émotion qu’on aime retrouvez au fil des jours.

    Voilà Monsieur l’Inspecteur !

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    1. Avatar de Inspecteur Méndez

      Bonjour,

      Je cite : « je partage (ou pas) sur mes réseaux sociaux. Alors je considère qu’une photo est parfaite quand elle restitue les émotions que j’ai ressenties face à la scène. Du simple plaisir instantané à l’émotion qu’on aime retrouvez au fil des jours. »

      Et c’est bien là à mon avis l’essentiel, faire passer un message, des émotions… Un photographe professionnel est lui, soumis à un contrat commercial qui fait que c’est son client qui décide des photos qui, dans ce cas précis, doivent être techniquement parfaites (en terme d’exposition et de colorimétrie par exemple). Il est soumis !

      Vive l’amateurisme et la fameuse « insignifiance » de Kundera !

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2 replies to “La véritable Histoire des climatiseurs Nikon !

  1. Difficile pour moi de dire ce qu’est une photo parfaite, pour un professionnel qui devra vendre son cliché.

    Je ne fais des photos qu’avec mon smarphone, que je partage (ou pas) sur mes réseaux sociaux. Alors je considère qu’une photo est parfaite quand elle restitue les émotions que j’ai ressenties face à la scène. Du simple plaisir instantané à l’émotion qu’on aime retrouvez au fil des jours.

    Voilà Monsieur l’Inspecteur !

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    1. Bonjour,

      Je cite : « je partage (ou pas) sur mes réseaux sociaux. Alors je considère qu’une photo est parfaite quand elle restitue les émotions que j’ai ressenties face à la scène. Du simple plaisir instantané à l’émotion qu’on aime retrouvez au fil des jours. »

      Et c’est bien là à mon avis l’essentiel, faire passer un message, des émotions… Un photographe professionnel est lui, soumis à un contrat commercial qui fait que c’est son client qui décide des photos qui, dans ce cas précis, doivent être techniquement parfaites (en terme d’exposition et de colorimétrie par exemple). Il est soumis !

      Vive l’amateurisme et la fameuse « insignifiance » de Kundera !

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